Un petit repos avant d’aller à mon cours pour développer mes pouvoirs, bien sûr ce cours sert aussi à les contrôler. Comme ma mère le faisait si bien quand elle était encore en vie, détachant le médaillon que j’ai à mon cou, je regarde à l’intérieur la photo de mon père et de ma mère. Un sourire viens se placer sur mes lèvres, oui depuis le jour où ils sont morts je n’ai plus souris. C’est Queeryn qui va être contente depuis le temps, quelle cherche à ce que je souris lâchant un soupir je remets mon médaillon autour de mon cou. Je sens le vent qui se lève et je lève les yeux, les nuages menaçant avance doucement part ici. Puis je vois dans une corbeille un journal regardant à droite et à gauche, je me lève et le prends pour le lire je vois que des choses étonnante se passe dans Chicago. Mais les premières années ont interdictions de se mêler à cela, je t’en foutrais des interdictions moi, remettant dans la corbeille je sentis une haine petite commencer à venir. Regardant une petite pierre elle se réduit en poussière de pierre. Je soufflai et mis ma tête en arrière.

« Seigneur, je n’arriverais jamais à me contrôler »

Oui jamais je ne vais réussir car les moindres petites émotions, je fais des dégâts aussi mais quand c’est les grosses, il ne faut pas traîner dans le coin sinon une blessure vas naître. J’entendis soudain un craquement de branche et me retourna très vite, et je tombai au sol je soupirai une seconde fois. Ça aussi faudra que je contrôle, bref je me relevai et regarde qui été là. Je vis une jeune fille qui avancer prudemment, surement elle à vue ce que j’ai fais de cette pauvre malheureuse pierre.

J'avais une heure de pause avant de reprendre les cours. Poussant un soupir, je me trainais jusqu’à l'extérieur, me demandant si ça valait vraiment le coup. C'est vrai, quoi ! Si mon père m'avait dit que cette école serait ma dernière chance de devenir une vraie héroïne quand il était encore en vie ; on en aurait rit, tout les deux. Ouais, c'est vraiment la toute dernière et infime chance. La plupart des élèves ici ne sont pas capables de contrôler leurs pouvoirs. Ils nous envoient en missions pratiques, sauf que la plupart manquent de discrétion, de contrôle de soi-même et, tout simplement, d'intelligence.
Je marche lentement dans le jardin de l'école, en me disant que les jardiniers ont bien du courage. Je n'étais pas là depuis longtemps, mais j'avais cru comprendre que pas mal des étudiants aimaient utiliser leurs pouvoirs pour "s'amuser", en détruisant le jardin. Bande d'idiots. Une fois, quelqu'un m'avait dit que, si je respectais tant la vie, c'était parce que je voyais les morts. maintenant, je sais que ça n'a rien a voir. A quoi ça sert, de vouloir casser quelque chose ; surtout quand cette chose n'a rien demandé.
Je commençais à ruminer mes pensées noires ; quand je vis un mouvement brusque à ma droite. Un élève, qui me tournait le dos, venait apparemment de s'énerver après avoir lu les nouvelles de Chicago. Soudainement, je m'avançais vers lui, ne sachant pas vraiment pourquoi, mais espérant peut être me transformer en une super-gardienne du jardin.
Cependant, je m'arrêtais net. Le garçon venait juste de briser une pierre en deux. Pas une petite pierre, en plus. Enfin, à y réfléchir, je pensais que c'était lui, puisqu'il s'était juste tendu un instant, la pierre avait explosé, et il n'y avait que lui dans les parages. Et ça m'étonnerait un peu que les pierres explosent toutes seules, comme ça, parce qu'elles ont marre d'être si grosse.
je fis un pas en avant, un peu intriguée ; mais néanmoins, face à cette démonstration, je n'avais plus aucunes envies d'être la sauveuse du jardin. Face à des gars qui, par une simple impulsion mentale, peuvent faire exploser une pierre, mes chances de survie en cas de dispute frôlaient le zéro.
Une branche craqua, et il se retourna. je mis quelques secondes à me rendre compte que c'était moi qui avait fait ce bruit en marchant sur une brindille.
« Oh. » oui,oh. c'est bien, Saddie-Rain, tu es vraiment une brave fille qui a de la conversation.
Mais très vite, je fronçai les sourcils, reconnaissant l'individu qui me faisait face.
« Oh ! Wendy, c'est ça ? » Bien sur, que c'est lui, y'en a pas des tonnes à coin de rue, des gars comme lui. Il m'avait demandé de rentrer en contact avec ses parents, dont - si j'ai bien tout compris - il se sentait responsable de la mort.
« désolée, je pensais que tu voulais faire comme ces abrutis qui veulent détruire le jardin juste pour épater la galerie. »

Je me relevai en retirant la poussière de sur mon jean slim, oui j’aime bien porter ça et je vis sur mon haut de couleur bleu nuit des taches, que je retirai car ce n’est que la terre. Puis j’entendis la voix de la jeune fille et je la reconnue, cette fille à qui j’ai demandé d’entre en contacte avec mes parents, elle se souvient de moi comme si c’étais hier. Quand elle parla du jardin je me mis à rigoler, la pauvre elle à dut avoir peur en voyant la pierre exploser. Je m’avançai vers elle mais avant je me regardai, je la pris contre moi et je souris, déposant un baiser sur sa joue je me reculai pour voir son visage.

« Pardon de t’avoir fait une belle peur, Saddie juste que j’ai étais un peu en colère contre ce qui a dans le journal. Et comme mes émotions joues avec mon pouvoir j’ai fixé cette pierre, enfin cette poussière de pierre et voilà le résulta. Et détruire un jardin ce n’est pas un plaisir, ma mère adore les jardins. »

Oui je sais je peux être dangereux mais je vais essayer de me contrôler, je l’ai promis en plus pour Queeryn et aussi pour la morts de mes parents. Puis je la regarder toujours et je vis une pierre, arriver derrière Saddie et je la pris directement. Je la jetai sur le sol et je la regardai et leva mes yeux foncer vers Saddie. Chance que j’étais là sinon elle serait assommé, et aussi j’ai réussi à me contrôler. Mais bon c’est facile ça car les bras j’arrive. Je regardai quand même d’où elle venait cette pierre, mais je ne vis rien si je retrouve l’individu je l’extermine.

« Je ne serais jamais un super héros, comme dis souvent Queeryn regarde moi je réduis en cendre, voir poussière plusieurs chose ou je brise plusieurs chose à la fois. C’est moi qui est tuer mes parents et ça je me le pardonnerais jamais. »

(HJ ; fais attention à ton nombre de ligne, pas spécialement dans ce RP mais ici c'est quinze lignes minimum)
Wendy ne prête pas attention à mes remarques stupides, et m'embrasse sur la joue, avant de se reculer. Il rit, et ça me fait du bien de l'entendre rire. Il n'est pas le premier à me demander d'entrer en contact avec des gens récemment décédés, mais en général, quand ce sont des gens dont la personne était proche, ils ne rigolent pas. Certes, sa demande remonte à quelques semaines, mais le voir rire comme ça me donne l'impression de ne pas être juste la fille qui parle au mort, et toutes ces appellations glauques qui me colleront à la peau jusqu’à ma mort.
Le jeune homme me dit être en colère contre ce qu'il y a dans le journal, et je ris aussi légèrement. « Bah, te prend pas la tête pour ça ; faut jamais croire tout ce qu'on dit dans les journaux... » c'est vrai, quoi. Les journalistes n'ont tellement plus rien à dire qu'ils s’intéressent à des faits qui font peur aux gens. A la place de parler d'une marche contre quelque chose, il décrivent précisément comment le corps de machine a été ciselé, combien de temps elle a dû rester en vie en souffrant atrocement ; bref, le genre de truc qui fait froid dans le dos et qui donne envie de se cloîtrer chez soi.
Il m'explique que c'est pour ça qu'il était énervé et que la pierre en a bavé. J'avais raison de m'arrêter, et de ne pas monter tout de suite sur mes grands chevaux, alors. Wendy n'est pas le genre de type qu'il faut énerver. « ma mère adore les jardins. » malgré moi, mon sourire se force. c'est toujours difficile de parler de ses parents quand on vient de les perdre. Cependant, Wendy a prononcé cette phrase normalement ; peut-être que sa légèreté était feinte, mais en tous cas il à l'air normal.
Je me dis qu'il est lunatique. Un instant, il était énervé, l'autre, il me voit, me sourit et semble plus heureux que n'importe qui, même en parlant de choses pas très joyeuses.
Soudain, il se jeta sur moi, me propulsant vers le sol. Je poussais un petit cri d'effroi, n'ayant conscience de rien pendant un instant. je crus d'abord que c'était son initiative, et m'éloignais un peu de lui un instant, prête à lui hurler dessus comme quoi il était complètement malade ; mais une pierre tomba à côté de moi, tandis qu'il se redressait pour voir d'où venait la pierre. « Tu vois, t'aurais du éviter de briser un caillou, ils se vengent sur moi, maintenant... »
Je me relevai prudemment ; regrettant encore une fois de ne pas avoir un pouvoir mieux que celui de parler aux gens morts. Wendy redevient nostalgique, et parle de Queeryn, notre amie commune, celle qui l'a poussé à me demander de parler à ses parents. Il parle aussi de son pouvoir, qu'il considère comme une malédiction, et je ris jaune. « Au moins tu peux faire quelque chose, avec ça ; regarde moi, je parle aux morts... quand les gens veulent que j'utilise mon pouvoir pour eux, c'est pour parler à des gens, qui, de toutes façons, ne seront plus jamais là autrement que par le lien que j'ai avec eux. J'ai pas envie de devenir une bête de foire... »
Mais wendy continue sur sa lancée, et je ne reconnait plus du tout le garçon qui riait de son attitude tout à l'heure. « C’est moi qui ai tué mes parents et ça je me le pardonnerais jamais. »
Je pousse un soupir, secoue la tête et m'approche de lui, posant la main sur son épaule, comme pour lui apporter un soutien fragile. « Wendy... » en temps normal, je répète juste "je suis vraiment sincèrement désolée", et je m'en vais. Sauf que, cette fois, il n'est pas là pour se servir de mon pouvoir. C'est moi qui suis allée vers lui ; et je ne sais pas quoi dire. j'ai beau avoir perdu moi aussi mon père, la compréhension n'est pas la seule chose qu'il faut pour trouver les bons mots.
« Ils ne t'en voulaient pas, je crois. Tu as un pouvoir immense, c'est pour ça que tu as du mal à le contrôler encore, et c'est pour ça que tu es ici. Même si ce n'est pas ce à quoi tu t'attendais, il faut toujours faire des sacrifices à un moment ou un autre. »
Avec un peu de recul, je me rend compte que j'ai volontairement changé de sujet ; orientant la question de la culpabilité de la mort de ses parents vers son pouvoir. Mais ça me fatigue, de parler de morts tout le temps.