Take care of your ass, L. Kael Newsham is in the place !
Messages : 58 Date d'inscription : 07/08/2011 Avatar : Francisco Lachowski credits : Aeroplane
your spark pouvoir: Pyrokinésie nom de code: relationship:
Sujet: Kael ❀ Besoin de rien, envie d'un joint Dim 7 Aoû - 17:00
✏ Lawrence Kael Newsham
Nom ; Newsham Prénom ; Lawrence Kael, enfin tout le monde m'appelle Kael, il faut dire que Lawrence c'est vachement pompeux. On ne m'appelle Lawrence que lorsque je fais des conneries ou qu'on ne me connait même pas un minimum. Âge ; 18 ans Date&Lieu de naissance ; 14 décembre à Oxford, Angleterre Pouvoir ; Pyrokinésie Métier ou année d'études ; 3 ème année Caractère ; enthousiaste ♣ enjoué ♣ dynamique ♣ pétillant ♣ irresponsable ♣ hypocrite ♣ inconscient ♣ bordélique
Prénom/Pseudo ; Bakachou Âge ; 16 ans Avatar souhaité ; Avis sur SOH ? J'adore sinon me serais pas inscrit *3* Où avez-vous connu le forum ? Baz' Quelque chose à dire ? Ca manque de smileys complètement fou.
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Dernière édition par L. Kael Newsham le Lun 8 Aoû - 13:23, édité 4 fois
Take care of your ass, L. Kael Newsham is in the place !
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Sujet: Re: Kael ❀ Besoin de rien, envie d'un joint Dim 7 Aoû - 17:01
there is fiction in the space between you and reality ;
« Et j'ai beau crier, hurler ton absence, jamais tu ne me reviens et aucun bruits ne comblent tes silences. »
Je suis né dans une famille étrange. A vrai dire mon père était fauché comme les blés alors que ma mère avait droit à une bonne part d'héritage. Vous connaissez l'amour ? Le vrai, le pur. Celui qui vous fait faire des folies, qui vous envoi droit dans le mur ? Ma mère le connaissait, elle a tout quitté pour mon père, tout abandonner. Elle a délaissé son héritage, tourné le dos à sa famille, elle s'est enfuie car l'amour ça rend con. L'amour ça fait faire des folies qui paraissent tellement logique quand on est dedans, enfoncé jusqu'au cou, mais toujours debout. Ce n'est qu'une fois un genoux posé à terre qu'on se demande ce qu'on a foutu jusque là. Ma mère le connaissait cet amour là, désintéressé, pur, et tellement plein d'éclat qu'elle a tout abandonner pour mon papa. Sauf que mon père, ces nous qu'il a abandonné là. Je suis né un 14 décembre neigeux, a vrai dire je ne m'en souviens pas, je suis rentré dans la vie comme on entre dans une salle d'attente. J'ai poussé un cri comme on demande de l'aide, agitant mes bras pour qu'on me remarque, mais il est des personnages de marques qui ne poseront jamais les yeux sur vous. J'ai grandi à Oxford accompagné de mon jumeau, j'y ai vécu, j'y ai grandi, j'ai pris des coups, je suis toujours resté debout, je riais le coeur en joie, je fonçais dans le mur les bras en croix. Nous vivions à quatre dans un appartement pas très grand proche du centre ville, je me souviens encore du bus que je devais prendre jusqu'à mon école alors que mon école restait silencieusement à côté de moi. Je me souviens de mon uniforme et de ces journées sans fin passée à l'intérieure de ma classe. Je me souviens des conneries que j'ai faite, des heures que j'ai passé à courir dans les rues. Après quoi je courrais ? Je sais pas bien, j'avais juste envie de courir. Courir après la vie, après l'espoir qui va qui vient mais qui tient pas. Après toutes ces choses que j'avais faîte mais que je n'assumais pas. Puis un jour, sans qu'on ne s'en rende compte, sans qu'on ne comprenne pourquoi, la vie vous rattrape et vous cloue au sol. Elle vous ceinture sans douceur et semble s'amuser à vous couper le souffle. Il s'agit parfois d'un petit mot, d'une simple phrase, ça ne sonne pas étrangement, pas plus que d'habitude, c'est quelque chose comme : "Il est où papa ?" et en réponse quelque chose comme "Il a été cherché des cigarettes, il n'en avait plus". Ça se poursuit avec un regard qui fui et une mère qui ne sait pas quoi rajouter. Puis mon frère qui me prit la main, sauf que voila, c'était dur de ne pas voir le paquet de clope poser sur le coin de la table. C'était dur de ne pas voir son briquet usé trôné la fièrement comme s'il ne narguait que moi. C'était dur, mes des années plus tard j'y croyais encore. J'avais fermé les yeux, comme on presse les paupières pour oublier les ténèbres qui nous entoure lorsque cacher sous les draps, on chercher à annihiler la peur qui nous ronge. On est partit d'Oxford quand j'avais onze ans, sur le coup je n'ai pas trop compris pourquoi, moi j'attendais mon père qui devait toujours être en train de cherche ses cigarettes. Peut-être que le vendeur du coin n'avait plus les sortes qu'il appréciait, peut-être qu'il s'était égaré en route, mais je conservais l'espoir fou qu'un jour il reviendrait. Lorsque nous avons déménagé je ne voulais pas aller rejoindre grand-papa, je ne voulais pas aller en amérique pour les beaux yeux de ma mère et le maigre sourire de mon frère, je voulais attendre mon père et être sur qu'il saurait nous retrouvé. Les choses ne se sont pas passées comme je l'espérais, mon père n'est jamais revenu, j'ai grandis, j'ai changé pour le meilleur et pour le pire.
« Il vaut mieux gâcher sa jeunesse que de n'en rien faire du tout. »
« Kael, on veut que tu arrive à te sentir à l'aise ici, mais tu ne nous rends pas la tâche facile.» Désespérément immobile, je conservais mes yeux perdu sur la superbe vue qui s'étalait derrière la femme en train de me faire un sermon. J'avais, encore, allumé quelques casiers dans un corridor. Plus je grandissais et plus mon don devenait difficile à contrôler. Un peu comme une bombe à retardement qui semble prendre de l'ampleur plus elle s'approche de l'explosion. Par moment, je ne contrôlais véritablement rien, une fois je parlais tranquillement avec une nouvelle connaissance lorsqu'un casier c'était enflammé. Parfois je pouvais être en court alors que mes mains prenaient feu. C'était insensé, bien souvent illogique, mais ça arrivait plus souvent que ce que je l'aurai aimé. Enfin, je ne me retrouvais pas séquestré dans ce bureau à cause de mes quelques problèmes de concentration et de contrôle. C'était un pari qui m'avait mené tout droit ici. Un pari que j'avais tenu et qu'il semblait que l'établissement n'était pas très content de me voir le réussir. Je n'écoutais pas ce qu'on me disait, elle devait déjà être consciente qu'une fois que je me serais retrouvé un pied dehors je ne m'intéresserais plus à ses histoires, elle allait s'énerver un petit coup, finir son sermon puis me dire de ne jamais recommencer. Bien entendu j'allais me tenir à carreau une semaine avant d'allumer une poubelle dans la cour, faire un feu de joie en classe, quelque chose dans le genre. J'étais un peu inconscient, j'allumais des feux n'importe où sans penser aux conséquences, de toute manière il y avait toujours bien un extincteur pour éteindre les flammes.« J'espère que tu m'as bien compris et que tu ne recommencera plus !» Un léger sourire naquit sur mes lèvres alors que je me levais d'un bon attrapant mon sac et me retournant déjà vers la porte. J'ouvrais déjà la porte en faisant un pas dehors avant de la clore ma main s'attardant quelques peu sur la poignée. Une fois que j'eu lâchais celle-ci je remarquais ma main et les traces de fonte qui se trouvait sur la clinche. Regardant à gauche et à droite, j'eu la chance de remarquer que j'étais seul dans le couloir. Soupirant, je soufflais sur mes doigts comme dans les films ils soufflent sur un fusil avant d'hausser les épaules et me remettre à marcher. Elle n'aura qu'à s'occuper de sa porte et me faire revenir pour une punition plus tard, en attendant j'avais des choses à faire.
« Faut se rendre à l'évidence, toi & moi c'est pour la vie. Ensemble ou séparés. »
A force de venir je connaissais cette pièce par coeur, qu'il s'agisse de la courbe du bureau, des médiocres bibelots qui trônaient sur ce dernier. Je connais la texture du siège sur lequel je suis en train d'attendre ma pénitence et je reconnais surtout le visage tiré de la femme qui me fait face. Je passais songeur mon doigt sur la poussière qui s'accumulaient avec patience sur le bureau avant qu'on ne passe un nouveau coup de chiffon, alors qu'elle reprenait la semaine. «Une semaine... j'aimerai que tu tiennes plus qu'une semaine. Ce n'est pas bien compliqué pourtant. » J'haussais les épaules tout en posant mes yeux sur les cadres au mur, avant de répondre « Vous savez c'est compliqué... c'est comme une force en moi qui me pousse à faire des conneries. Je crois que j'ai déposé les armes et que je suis allé voir du côté sombre de la force. Vous savez ils ont les meilleurs cookies que j'ai jamais goûté là bas.» Un large sourire trônait fièrement sur mes lèvres alors que j'attendais la riposte, j'étais peut-être fou à réagir ainsi, mais c'était plus marrant que de l'écouter bavassée seule. Je ne m'attendais cependant pas à ce qu'elle énerve, le plat de sa main s'abattit violement sur le bureau alors qu'elle semblait tout à fait exempte de calme sur le coup. « C'est fini ! J'ai été plus que patiente avec toi Kael, si tu continues je vais devoir te punir.» Hochant la tête j'attrapais mon paquet de clope dans ma poche avant de claquer des doigts pour avoir du feu afin de l'allumer. A peine la première volute de fumée échappée du tube cylindrique que déjà une vague de colère s'écrasa sur moi. Je ne compris pas tout, enfin j'allais devoir traîner un boulet quelques temps pour qu'on me laisse tranquille. Je suis sortis du bureau en traînant des pieds avant d'essayer de m'esquiver. J'allais me faire passer pour malade et rester ma journée tranquille dans mon pieu à l'internat. C'était sans compter sur une secrétaire à l'administration qui m'arrêta un large sourire aux lèvres et un papier dans la main. « Kael, Kael attends ! Pour ta punition tu dois te rendre dans l'amphithéâtre et demande cette personne. Allez, va mon petit. » Lui offrant un léger sourire je me dirigeais vers l'amphithéâtre avec des pieds de plomb conscient que cette fois je n'y échapperais pas.
J'avais finalement rencontré Saddie et je ne savais pas trop comment on pouvait qualifier cette rencontre. Je m'amusais bien avec elle toujours à la pousser en attendant une réaction de sa part et elle ne mettait jamais longtemps à réagir. Voila comment pareille à un boomerang, plus elle me lançait loin, plus elle avait de chance de me revoir débouler avec force. Et pour me jeter, c'était la meilleure. J'arrivais à y repenser même alors que je parlais avec des amis tranquillement. Tirant sur une clope, on était installé dans la cours assis sur les tables du centre de celle-ci à parler. En l'occurrence le sujet de discussion n'était autre que ma dernière punition en date. « Elle ressemble à quoi ? J'espère qu'on ta pas mis un laideron sur le dos. » Hochant la tête négativement tout en riant je tirais une autre taffe sur ma cigarette avant de répliquer en voyant des jeunes sortir du bâtiments principale. « A ce niveau là j'ai pas à me plaindre, elle est pas mal... tiens, c'est elle là.» La pointant du doigt, les mecs avec qui je parlais ne perdirent pas une miette du spectacle. Le plus lourdingue et le plus chiant comme à son habitude eu l'art de mettre les pieds dans le plat et me faire sortir de mes gonds. «J'ai été un mauvais garçon et je la veux bien comme punition... Elle est vraiment pas mal, je me la ferai bien.» Me redressant la clope au bec, je le toisais vivement du regard sans me rendre compte que le début de ma manche prenait feu. Je devais avoir l'air mauvais car les mecs prirent peur alors que je lui aboyais : « N'ai pas la folie de t'en approcher mec si tu tiens à ta peau.» J'attrapais mon sac en étouffant un juron avant de tapoter ma manche qui continuait doucement à se consumer. « Calmos frèro on te la volera pas...» Je jetais un regard enflammé à mon frère avant de me retourner sans un mot. C'est mon sweat-shirt complètement foutu que j'abordais Saddie qui devait sûrement se diriger vers le dortoir des filles pour se reposer. « En manque de moi ?» « Même pas en rêve Kael.» Un sourire aux lèvres, je jetais mon mégot avant de l’écraser tout en continuant à la suivre jusqu’au dortoirs féminin. Elle ne s’en rendait pas compte, mais plus elle me repoussais, plus je revenais à la charge. Puis, j’adorais lorsqu’elle me repoussait.
Dernière édition par L. Kael Newsham le Lun 8 Aoû - 14:57, édité 3 fois
Take care of your ass, Saddie-rain Carmicheal is in the place !